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FRANCE COVID. VACCIN: Faut-il se méfier des chiffres balancés sur certaines chaînes de télé ?

 

 

FRANCE COVID. VACCIN: Faut-il se méfier des chiffres balancés sur certaines chaînes de télé ?

Le 30 octobre 2021, nous mettions déjà en garde sur les chiffres et leurs évolutions.

Nous indiquions alors qu’il fallait toujours prendre les statistiques avec des pincettes.

A l’époque, il nous paraissait intéressant de se poser des questions sur trois évolutions statistiques:
– le taux d’incidence très élevé des plus de 65 ans par rapport à la population globale;
– la distorsion réduite entre tests positifs des vaccinés et non-vaccinés.;
– soins critiques des vaccinés et non vaccinés

On nous expliquait que les taux d’incidence et de positivité des plus de 65 ans – nettement plus faible que pour la population générale – étaient dus à leur pourcentage de vaccination important et à la primauté qu’ils avaient eu dans la campagne de vaccination.
Force était alors de constater ensuite que les taux étaient devenus nettement plus élevés pour cette population âgée (données des 26 et 28 octobre 2021).
Type de vaccin, évolution des anti-corps, nécessité de poursuite des doses etc… chacun aura sa réponse ou attendra celle des experts ou pseudo-experts en la matière.

Lire: https://tinyurl.com/yv7j2nf4

RATIO VACCINÉS / NON-VACCINÉS
Depuis plusieurs semaines, on entend sur les antennes des professionnels de santé ainsi que des politiques affirmer que les non-vaccinés Covid sont 9 fois plus nombreux que les vaccinés dans les hôpitaux.
Or, les derniers chiffres qui viennent d’être publiés et qui correspondent à la date du 14 novembre 2021 (date correspondant aux affirmations) montrent des stats divergentes (stats de Santé publique France).

En soins critiques:
– 13,73 pour les non vaccinés
– 4,36 pour les vaccinés.
Soit un ratio de  X 3,15.

Quant aux tests positifs:
– 117,92 pour les non vaccinés
– 66,43 pour les vaccinés.
Soit un ratio de X 1,77.

On est donc très loin des prétendus ratios de  X 9 !

On veut bien admettre que les comparaisons pour les tests soient délicates en raison des compositions de population différentes. Il n’en est rien pour les patients en soins critiques.
Mais pourquoi essayer de faire peur aux gens avec de faux chiffres ? Ils ne sont pas assez stressés comme ça?

 

Rappelons, si c’était nécessaire, que cette mise en avant statistique ne se veut en aucun cas un argumentaire anti-vaccin, mais simplement une information pour éclairer comme il se doit la population.

D’autre part, au vu des désinformations régulières relevant parfois du lavage de cerveau, il ne serait pas inutile que les débats du Conseil scientifique Covid-19, créé en mars 2020 et composé de treize experts scientifiques, soient diffusés sur les antennes.

© Stats de Santé publique France

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. COVID 98% de majeurs vaccinés en Vendée et un taux d’incidence qui grimpe toujours…

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 25 NOVEMBRE 2021

VENDÉE


Il est légitime de se poser la question…

La Vendée comporte désormais 98% de majeurs vaccinés (+ de 18 ans) en Vendée, et pourtant le taux d’incidence ne cesse de grimper… et se trouve désormais à plus de 200.
Quant au taux de positivité (contamination), il est à 1,39.

Le Reporter sablais

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 24 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 24 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

 

FRANCE

 

 

 

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 24 novembre 2021

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 24 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

 

FRANCE

 

 

 

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée 21 novembre 2021: la France entre chien et loup…

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 21 NOVEMBRE 2021

FRANCE + VENDÉE

Alors que la France est encore entre chien et loup, les loups sont déjà à nos frontières.
Europe centrale et Europe de l’Est ont déjà basculé vers une reprise de la pandémie qui semble sans limites.
En France, le rebond s’est véritablement enclenché et pour le département de la Vendée la reprise est réellement sensible.

Que penser de cette situation ? Un relâchement d’abord. Malgré les avertissements répétés, les gestes barrières n’ont pas été respectés. Dire que c’est la vaccination qui a entraîné cela car les gens se sont sentis bien trop tôt comme libérés !
Ensuite, la vaccination n’est plus la panacée que certains pensaient avoir découvert. Son effet se réduit dans le temps, ce vaccin n’ayant pas d’effet permanent comme d’autres.
La France, et quatre à cinq autres pays résistent à l’invasion; cela serait dû au retard pris par notre pays en raison des problèmes d’approvisionnement de vaccins que nous avons connus. Voilà bien le seul élément positif que certains veulent reconnaître aux affaires des masques et des vaccins !
De là à y voir une manipulation politique à quelques mois de l’élection présidentielle….

Restons optimistes, mais il y a de fortes chances que la France voit ses courbes négatives prendre de l’ampleur durant l’hiver.
Seuls le printemps et une réduction avec le temps de la virulence du virus laissent présager des temps plus radieux. En attendant, réduisons les regroupements et les déplacements autant que faire se peut.
Là réside le salut, bien plus que dans des confinements ou des restrictions.

Concernant les statitisques, on notera:
– un rebond France à 144
– des hospitalisations et entrées en soins critiques encore maintenues
– des ratios tests positifs et réanimations de x4 ou x5 entre les personnes vaccinées et les non-vaccinées (et non x9)
– un fort rebond de la reproduction effective
– des décès contenus
– des taux d’occupation contenus

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

FRANCE

 

 

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne. BILAN COVID France Vendée au 18 novembre 2021: en Vendée le rebond prend forme

 

DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES
POINT DE LA SITUATION – DIFFUSION DU 18 NOVEMBRE 2021

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FRANCE

 

 

 

VENDÉE

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. COVID Vaccinés et non-Vaccinés: des distorsions qui semblent se réduire

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. COVID Vaccinés et non-Vaccinés: des distorsions qui semblent se réduire

Il faut toujours prendre les statistiques avec des pincettes.
Et nous le ferons aujourd’ui encore.

Reste qu’il est intéressant de se poser des questions sur trois évolutions statistiques:
– le taux d’incidence très élevé des plus de 65 ans par rapport à la population globale;
– la distorsion réduite entre tests positifs des vaccinés et non-vaccinés.;
– soins critiques des vaccinés et non vaccinés

Stats: Santé publique France

Premier cas:
Il n’y a pas si longtemps, on nous expliquait que les taux d’incidence et de positivité des plus de 65 ans – nettement plus faible que pour la population générale – étaient dus à leur pourcentage de vaccination important et à la primauté qu’ils avaient eu dans la campagne de vaccination.
Force est de constater qu’aujourd’hui (données des 26 et 28 octobre 2021), les taux sont nettement plus élevés pour cette population âgée:
– Vendée: incidence à 202,9 pour les +65 ans contre 92,9 pour la population globale; et 7,3 de positivité pour les +65 ans contre 3,6 pour la population globale.
L’écart est également très important pour l’ensemble des Pays de la Loire.

Type de vaccin, évolution des anti-corps, nécessité de poursuite des doses etc… chacun aura sa réponse ou attendra celle des experts ou pseudo-experts en la matière.

Deuxième cas:
Force, là aussi, de constater que l’écart s’est fortement réduit pour ce qui concerne les tests positifs entre les personnes vaccinées et les non-vaccinées.
Ainsi, pour la France entière, à la date du 17 octobre 2021, les tests positifs des non-vaccinés évoluent peu sur les dernières semaines (1,88% en 7 jours) alors que chez les vaccinés, l’évolution faible sur les dernières semaines monte toutefois à 15,90% sur les 7 denriers jours.
Mais surtout, les courbes se sont nettement rapprochées.

Là aussi, chacun aura sa réponse ou attendra celle des experts en la matière. Il faudra certainement tenir compte des différentiels du nombre de tests entre ceux qui sont vaccinés et effectuent des contrôles de vérification, et les non-vaccinés qui effectuent ou ont effectués des tests afin de vivre un quotidien similaire à leurs copatriotes…
Constatons seulement que, si les écarts sont encore importants 24 tests positifs chez les vaccinés contre 66 chez les non-vaccinés sur 100.000 personnes, l’écart s’est réduit au point de se poser des questions sur l’efficience à moyen terme – sur la durée – des vaccins.
L’évolution est parallèle dans les autres Régions (voir ci-dessous courbes pour plusieurs Régions françaises).

 

3ème point: les entrées en soins critiques
Pour les entrées en soins critiques, force là aussi de constater que les écarts se réduisent.
On reste toutefois, sur la France, à un écart en défaveur des non-vaccinés de 6,21 entrées contre 2 aux vaccinés.
Dans les Pays de la Loire, le score reste cependant très proche: 3,94 entrées (vaccinés) et 5,39 entrées (non-vaccinés).

On laissera chacun se faire sa propre opinion.
Les experts et pseudo-experts ne manqueront pas d’apporter leur vision des choses, notamment sur l’efficience des vaccins à moyen terme – sur la durée.

 

Rappelons, si c’était nécessaire, que cette mise en avant statistique ne se veut en aucun cas un argumentaire anti-vaccin, mais simplement une information pour éclairer comme il se doit la population.

© Stats: Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

COVID France: fermeture de classes et établissements scolaires (Rédaction Les Sables-d’Olonne)

 

FERMETURE DE CLASSES ET ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES AU 26 OCTOBRE 2021
DERNIÈRES STATISTIQUES CONNUES

Seules les données au niveau national sont disponibles.

 

 

FRANCE

Ce sont 6 structures scolaires qui étaient fermées en France à la date du 15 octobre 2021 (derniers chiffres connus au 26 octobre 2021).
Soit un taux très faible de 0,01%, en baisse par rapport à la situation aux 17 et 24 septembre 2021.

Sans être plus inquiétante, le nombre de classes fermées est de 1180, en amélioration continue depuis le 17 septembre 2021. Le taux est de 0,22%.

 

 

 

 

 

 

© Santé publique France

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

 

 

 

 

Les Sables-d’Olonne Vendée. COVID FRANCE Point épidémiologique par Santé publique

 

COVID FRANCE Point épidémiologique par Santé publique au 7 octobre 2021

La quatrième vague a eu un impact moindre sur
les admissions à l’hôpital et les décès en comparaison aux vagues précédentes

 

En semaine 39 (27 au 3 octobre), l’amélioration se poursuit sur le territoire national avec des indicateurs épidémiologiques toujours en baisse dans la quasi-totalité des régions. La situation restait préoccupante en Guyane, avec des taux d’incidence et d’hospitalisation élevés, un excès de mortalité et une très faible progression de la vaccination. Au niveau national, le taux d’incidence était en baisse chez les plus jeunes et avait tendance à se stabiliser chez les 60 ans et plus. En France, au 05 octobre 2021, 75,2% de la population avait reçu au moins une dose de vaccin et 72,9% était complètement vaccinée. Dans le contexte d’un relâchement de l’adhésion aux mesures barrières, la vaccination associée aux autres mesures de prévention (respect des gestes barrières, limitation des contacts à risque, isolement en cas de symptômes, d’infection confirmée ou de contact avec un cas confirmé) reste primordiale pour maintenir la tendance épidémique favorable actuelle.

La situation sanitaire continue globalement de s’améliorer

Au niveau national, en semaine 39, la baisse du taux d’incidence s’est poursuivie avec 48 nouveaux cas pour 100 000 habitants (-16%), soit 4 609 cas diagnostiqués par jour en moyenne. Le taux d’incidence était en diminution chez les moins de 60 ans et tendait à se stabiliser chez les plus âgés. Ils restaient plus élevés chez les adultes de moins de 50 ans et les enfants. Le taux de dépistage, incluant tests antigéniques et PCR (autotests exclus), était toujours très élevé, atteignant 4 580 pour 100 000 habitants (-3%). Il était stable ou en diminution dans toutes les classes d’âge, excepté chez les 10-19 ans (5 274, +34%). Le taux de positivité était en légère diminution à 1,0% (-0,2 point).

 

Au niveau hospitalier, la baisse des indicateurs s’est poursuivie, avec 1 228 nouvelles hospitalisations
(-23%) et 306 nouvelles admissions en soins critiques (-27%)
. Au 05 octobre, on dénombrait 7 157 patients COVID-19 en cours d’hospitalisation, dont 1 292 en soins critiques.

Légère diminution des indicateurs en Guyane, qui restent à des niveaux très élevés

En semaine 39, le taux d’incidence en Guyane avait légèrement diminué (-8%), avec 494 cas /100 000 habitants. Cette faible tendance à la baisse s’observe sur tout le territoire, mais doit être confirmé dans les jours à venir. Les hospitalisations tous services confondus étaient en légère diminution, avec 85 hospitalisations en semaine 39 contre 115 en semaine 38 : cette baisse concerne principalement l’hôpital de Cayenne. Cependant, le nombre d’admissions en soins critiques est resté à un niveau élevé avec 20 admissions (contre 23 en S38), reflétant la hausse du nombre de cas confirmés observée deux semaines plus tôt. Cette hausse concerne principalement l’hôpital de l’Ouest, qui était le secteur impacté le plus tardivement par la quatrième vague.

En semaine 39, 23,4% de la population guyanaise était complètement vaccinée. Par rapport à la semaine précédente, la couverture vaccinale avait très peu progressé, quelle que soit la catégorie d’âge (moins de 1%). Les 12-17 ans et les 75 ans et plus étaient les moins vaccinés et la vaccination progressait plus lentement dans ces classes d’âge.

4ème vague : Moins d’hopistalisations et de décès que les vagues précédentes

La quatrième vague de l’épidémie de COVID-19, liée majoritairement au variant Delta, a démarré début juillet 2021. Le taux d’incidence a atteint un premier pic le 29 juillet (semaine 30) s’élevant à 225 pour 100 000 habitants, puis un second à 248 pour 100 000 habitants le 12 août (semaine 32).

Sur la même période, le taux hebdomadaire de nouvelles hospitalisations était au plus haut 20 jours après le premier pic d’incidence et 6 jours après le deuxième pic (29 et 15 jours pour les décès). Par rapport au nombre de cas, les niveaux atteints (7,9/100 000 pour les nouvelles hospitalisations et 1,1 pour les décès) étaient moins élevés que ceux observés lors des vagues précédentes.

 

Deux hypothèses peuvent être avancées pour expliquer les décalages observés et l’impact moindre de la quatrième vague sur les admissions à l’hôpital et les décès :

•             La vaccination étant fortement efficace pour prévenir les formes graves, la couverture vaccinale élevée chez les personnes âgées dès la fin du mois de juin a pu réduire sensiblement leur apparition dans cette population, et par conséquent, le nombre d’hospitalisations et de décès. Efficace dans une moindre mesure sur la transmission du virus, la vaccination a également pu contribuer à freiner la circulation du SARS-CoV-2.

•             D’autre part, le virus a, dans un premier temps, surtout circulé chez les jeunes adultes, dans un contexte de moindre adoption des mesures barrières fin juin 2021 : lors de cette quatrième vague, 80% des cas confirmés étaient âgés de moins de 50 ans (vs 61% entre septembre 2020 et juin 2021). Les plus jeunes, par ailleurs peu vaccinés à cette époque, ont donc été les plus touchés par le SARS-CoV-2 tout en présentant un risque moindre d’être hospitalisés. La circulation virale s’est ensuite étendue aux plus âgés, plus susceptibles de développer des formes graves, entraînant un second pic d’incidence, suivi du pic des hospitalisations.

Plus de 50 millions de français ont reçu une première dose de vaccin

Le 05 octobre, l’estimation de la couverture vaccinale en France à partir de Vaccin Covid était de 75,2% (50 482 515) pour au moins une dose et de 72,9% (48 911 033) pour une vaccination complète. Parmi les 12 ans et plus, 50 462 348 avaient reçu au moins une dose (87,3%) et 48 897 142 (84,6%) une vaccination complète.

 

Au 05 octobre, 93,5% des résidents en Ehpad (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ou USLD (unité de soins de longue durée) avaient reçu au moins une dose de vaccin (91,4% pour la vaccination complète). Chez les professionnels de santé libéraux, la couverture vaccinale continue de progresser : 96,0% avaient reçu au moins une dose et 94,5% étaient complètement vaccinés.

 

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

(Sources Santé publique)

 




 

Les Sables-d’Olonne Vendée. SPORT: mesures sanitaires Covid à partir du 30 septembre 2021

 

MESURES SANITAIRES POUR LE SPORT À PARTIR DU 30 SEPTEMBRE 2021

A partir du 30 septembre 2021, de nouvelles mesures sanitaires entrent en vigueur pour le sport.

 

La pratique de l’éducation physique et sportive à l’Ecole
Les établissements scolaires n’étant pas soumis à la présentation du pass sanitaire, en cours d’EPS, les élèves et leurs enseignants en sont donc exemptés dans leurs lieux d’enseignement habituels (piscines, gymnases…).
Le ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports, Jean-Michel BLANQUER et la ministre déléguée chargée des Sports, Roxana MARACINEANU, se réjouissent que tous les élèves aient la possibilité de pratiquer de l’activité physique en cette rentrée et que les cycles d’apprentissage de la natation puissent reprendre normalement dans le cadre scolaire.
L’enseignement de l’EPS reste toutefois soumis au respect des différents niveaux du protocole sanitaire de l’Education Nationale en vigueur selon les départements*, qui conduiront à adapter les pratiques sportives au niveau de circulation du virus (notamment limiter les contacts).

 

La pratique associative et dans les équipements sportifs
Déjà en vigueur pour les adultes, la présentation d’un pass sanitaire devient obligatoire dès 12 ans à compter du 30 septembre 2021 dans les équipements sportifs ainsi que les compétitions.
Les jeunes qui auront 12 ans en cours d’année disposeront d’un délai de 2 mois pour présenter leur pass sanitaire afin de leur laisser le temps de compléter leur schéma vaccinal.

A noter : comme l’a annoncé le Premier ministre, pour les mineurs, les tests PCR et antigéniques resteront gratuits au-delà du 15 octobre.

La mise en œuvre du pass sanitaire permet à l’ensemble des pratiques sportives (avec ou sans contact) et des structures (couvertes ou de plein air) de poursuivre leur activité sans restriction.
Le pass sanitaire permet également aux manifestations sportives d’accueillir du public à jauge pleine dès lors que les spectateurs sont assis, et avec un mètre de distanciation lorsque le public est debout, dans les stades et enceintes sportives.
Enfin, le port du masque n’est pas obligatoire dans les enceintes où le pass sanitaire est requis.
Son usage – sauf lorsque l’on fait du sport – est toutefois conseillé et peut être rendu obligatoire par décision du préfet, de l’organisateur de la manifestation ou de l’exploitant de l’enceinte.

https://www.education.gouv.fr/covid19-mesures-pour-les-ecoles-colleges-et-lycees

https://www.education.gouv.fr/covid19-quel-protocole-sanitaire-pour-les-ecoles-et-etablissements-de-mon-departement


Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais